Margaret Huber
Margaret Huber a fait carrière en diplomatie et a été ambassadrice en Europe, en Asie et au Moyen-Orient. De plus, elle a été chef du protocole du Canada (2010-2013). En 2014, elle a été chercheuse en leadership avancé à Harvard. Aujourd’hui, elle siège activement au sein de plusieurs conseils (dont le Club de l’Université Harvard d’Ottawa) et soutient plusieurs organismes, dont une organisation non partisane qui œuvre pour le renforcement de l’engagement des électeurs et des communautés. Elle est une diplômée de l’Université McGill (B.A.), de l’Université d’Ottawa (M.A.) et du Programme de gestion avancée de la Harvard Business School.
Meg Jones
Meg Jones est actuellement étudiante à la Faculté de droit de l’Université McGill. Elle est également chercheuse dans un cabinet de droit de l’immigration, où elle travaille avant tout dans le domaine du droit des réfugiés. Elle a un intérêt marqué pour le développement international et a travaillé en Tanzanie avec un organisme de défense des droits des femmes qui forme les collectivités en droits de la personne, appuie la réforme constitutionnelle et sociale et offre des services juridiques gratuits aux femmes.
Melanie Thomas
À l’âge de sept ans, Melanie s’est trouvée en face d’une jeune fille qui mendiait pour de la nourriture en Inde. Cette expérience l’a profondément marquée, et elle tient maintenant à s’assurer que l’avenir d’un individu ne soit pas dicté par des circonstances socioéconomiques. Cette croyance l’a menée dans des bordels de Mumbai et des villages du Cambodge, où elle a lutté contre le trafic et l’exploitation de personnes. Elle a également dirigé une initiative étudiante de développement en Europe de l’Est, où elle a enseigné l’esprit d’entreprise en Russie et en Moldavie.
Melanie est titulaire d’une licence en droit de l’Osgoode Hall Law School et d’un diplôme en administration des affaires de l’Ivey Business School. Elle travaille actuellement dans le secteur bancaire à Toronto.
Nadim Nasser
Nadim Nasser est un important artisan du changement. Bien que cela pourra sembler ironique pour certains, ses études en affaires lui ont permis d’explorer sa passion pour le développement international et l’ont aidé à devenir plus créatif, axé sur les résultats, autonome et déterminé à réussir. Nadim a travaillé en Afrique de l’Est, en Amérique centrale et, plus récemment, en Asie centrale. À titre de gestionnaire des Opérations académiques de l’Université d’Asie centrale (UCA), Nadim a appuyé, de 2014 à 2016, le doyen fondateur de la Faculté des Arts et des Sciences afin de contribuer au processus stratégique de lancement du premier campus de l’UCA. La mission de cet établissement consiste à offrir une éducation postsecondaire de haute qualité à des étudiants qui vivent dans les régions montagneuses d’Asie centrale.
Nadim compte lancer à différents publics – étudiants et chefs de file dans divers domaines – le défi de redéfinir le développement international.
Nareena Switlo (Couramment à l’étranger)
« Tuko Pamoja ». Ces deux mots ont lancé la carrière de Nareena en développement international de chez elle, à Vancouver, en C. B. Sa passion l’a amenée à utiliser le travail d’entreprise sociale pour aborder certains des enjeux mondiaux les plus pressants. Sa vaste expérience en gestion de projet et en facilitation de leadership contribue à son approche holistique au développement. Nareena est connue pour son humour et son ouverture, qui lui permettent d’échanger avec des gens de différents horizons. Elle aime encourager les participants à suivre leurs propres désirs de s’instruire sur le monde. Elle vous inspirera certainement à devenir un(e) citoyen(ne) du monde.
Nareena détient un baccalauréat ès arts en anthropologie et a travaillé avec des organismes novateurs à Zanzibar en Tanzanie, au Kenya, au Ghana et en Inde.
Nawida Sidiqi
Tout le monde entend des contes de fées en grandissant. Pour Nawida, ces histoires, racontées par son père, peignaient un portrait de son magnifique pays natal. Graduellement, elles ont remplacé ses propres souvenirs d’enfance. Ce n’est que lorsqu’elle est retournée dans son pays natal qu’elle a constaté à quel point la guerre avait sali le pays dont elle avait entendu parler toute sa vie. Cette expérience a permis à Nawida de comprendre, d’une part, ce qui avait poussé ses parents à déménager la famille au Canada et, d’autre part, l’importance d’une éducation de qualité.
Nawida détient un baccalauréat ès arts en criminologie et sociologie de l’Université d’Ottawa. Elle travaille actuellement pour la Fondation Aga Khan Canada.
Salimata Niang
Salimata a passé les deux dernières décennies à travailler avec les communautés d’Afrique de l’Ouest sur le développement international. Mue par la conviction que le renforcement des capacités peut aider les gens à sortir de la pauvreté, elle se concentre sur l’aide aux personnes dans le besoin pour transformer leur vie en utilisant des opportunités d’affaires. Tout en travaillant dans ce domaine, elle œuvre aussi pour le maintien de l’espoir car elle croit qu’un bon développement international est la clé de briser le cycle de la pauvreté.
Salimata est titulaire d’une maîtrise en sciences de la santé communautaire de l’Université Laval de Québec.
Sandra Dyal
Sandra est une Canadienne de première génération qui met à profit son expérience universitaire et ses expériences dans les secteurs de l’entreprise et du gouvernement pour coordonner des initiatives de développement international de qualité. Elle croit que la meilleure façon d’atteindre des objectifs de développement est par le biais de la collaboration et de la coopération entre tous les secteurs.
Sandra est une gestionnaire qualifiée de la qualité et de l’excellence organisationnelle, et elle détient des baccalauréats en psychologie, en biologie et en biochimie de l’Université de Winnipeg, ainsi qu’une M.Sc. en science et technologie de l’alimentation de l’Université de l’Alberta. Elle est une consultante en responsabilité sociale des entreprises, et elle travaille avec des entreprises et des ONG afin de créer le changement communautaire et d’autres programmes d’impact social.
Sarah Gauthier
Sarah est originaire d’Ottawa, et bien qu’elle adore sa ville natale, elle a vécu à l’étranger dans de nombreux contextes différents, pour le travail ou les études. Dans le cadre de son travail en développement international, Sarah a tissé des amitiés qui ne connaissent pas de frontières. Ce sont les liens personnels que l’on développe avec des gens qui peuvent nous sembler différents de nous au premier coup d’œil qui aident à créer des ponts menant à la compréhension, la collaboration et la paix.
Sarah détient un baccalauréat en développement international et mondialisation et une maîtrise en éducation axée sur l’apprentissage des adultes et les changements mondiaux. Elle travaille actuellement à titre de conseillère en formation et développement pour l’ONG CUSO. Sarah adore partager sa passion du travail interculturel avec d’autres personnes qui partagent de mêmes idées.
Shahirose Premji
Shahirose Premji est professeure agrégée à la Faculté de sciences infirmières de l’Université de Calgary, et elle a travaillé comme infirmière praticienne en soins néonataux et comme spécialiste de la santé publique pour Postpartum Community Services (Services postpartum communautaires). Elle compte plus de 20 ans d’expérience en santé néonatale et a pratiqué en tant que clinicienne et spécialiste technicienne en Australie, en Chine, au Kenya, en Tanzanie, au Pakistan, en Syrie et en Ouganda. Son engagement universitaire a commencé en 1994 lorsqu’elle a travaillé pendant deux ans à titre de professeure agrégée à l’École des sciences infirmières de l’Université Aga Khan. Elle a également été consultante dans le cadre du Programme canadien d’échange en développement (CADEX) de la Fondation Aga Khan Canada. Elle croit passionnément au renforcement des soins de santé pour les femmes enceintes, en particulier leurs besoins en santé mentale. Selon elle, tous les bébés devraient avoir la même chance de survie peu importe leur lieu de naissance. Son programme de recherche porte sur les populations vulnérables dans une optique de santé mondiale.
Stephanie Ortynsky
Ayant grandi en Saskatchewan, là où a vu le jour le régime canadien d’assurance de soins médicaux, Stephanie a toujours eu une passion pour l’édification de sociétés saines et un désir de redonner à la collectivité. Après un emploi à l’Organisation mondiale de la santé en Suisse et l’obtention d’un diplôme de maîtrise en santé publique, Stephanie a porté son intérêt pour la santé publique internationale au-delà des frontières canadiennes. Sa passion pour le développement international l’a menée à travailler en Afrique du Sud et, tout récemment, dans les régions montagneuses du Tadjikistan. Pendant cette période passée au Tadjikistan, elle a beaucoup appris sur les soins de santé dans un pays en développement, notamment sur l’importance d’évaluer les réussites, d’apprendre des données, et du temps. Elle s’est bientôt rendu compte qu’en tant que Canadiens nous pouvons apprendre énormément des initiatives entreprises dans les pays en développement, et réciproquement.
Stephanie termine actuellement ses études de doctorat en santé publique à l’Université de la Saskatchewan et elle travaille également comme assistante de recherche à l’École supérieure de politique publique Johnson-Shoyama.
Tazim Lal
Tazim Lal est une professionnelle en décoration intérieure basée à Ottawa et la propriétaire d’une entreprise sociale. Sa passion l’amène – par le biais du volontariat et de l’entrepreneuriat – à aider les personnes moins fortunées à renforcer leurs compétences. Elle travaille sur différentes initiatives avec la Fondation Aga Khan Canada et a compris que le développement renforce l’autonomisation et est une solution à bon nombre d’enjeux mondiaux.
Tina Parbhakar
Tina Parbhakar est une avocate pratiquante et une bénévole dévouée établie à Vancouver, en Colombie-Britannique. Elle est passionnée par les questions de justice sociale au Canada et à l’étranger. En 2012-2013, elle a travaillé à Kampala grâce à la Fondation Aga Khan Canada comme spécialiste en communications pour le programme Madrassa de développement de la petite enfance. Avant d’occuper ce poste, elle a travaillé à Delhi sur une recherche participative en Asie sur des enjeux liés à la violence envers les femmes. Elle est membre de Lawyers’ Rights Watch Canada et de Rotary International, entre autres organisations.
Tracey Evans
Tracey a grandi avec des parents qui travaillaient dans l’industrie aérienne et a passé son enfance dans des avions, à explorer de nouveaux endroits et à développer sa curiosité à l’égard du monde au-delà de ses frontières. Cette curiosité l’a amenée à travailler dans l’ouest et le sud de l’Afrique dans le cadre de projets sur le VIH-sida et à réaliser un stage de la Fondation Aga Khan Canada au Bangladesh, où elle a travaillé sur des projets de développement économique. Dans ce pays, elle s’est heurtée aux obstacles aux services de santé avec lesquels les gens doivent composer tous les jours partout dans le monde lorsqu’elle est elle-même tombée malade et n’avait pas accès au système de santé canadien.
Tracey est une diplômée de l’École de développement international de l’Université d’Ottawa, et elle détient une maîtrise en politiques publiques. Elle est actuellement agente de programme pour la Fondation.
Victry Anya
Née et élevée au Cameroun par des parents nigériens, Victry souscrit pleinement à son rôle de citoyenne du monde. Artisane de la paix et championne du développement, elle se spécialise dans la réunion des communautés en vue d’un développement mutuel. Elle a réalisé cela par le biais d’organisations comme les Nations Unies, l’International Rescue Committee et Agriteam Canada.
Son travail aux Nations Unies l’a menée en République démocratique du Congo (RDC), où le Conseil de sécurité des Nations Unies l’a nommée experte régionale pour la RDC en 2014. Lorsqu’elle travaillait en RDC, le pays a connu des périodes de violence et d’incertitude et Victry a même été évacuée quelques fois du pays. Mue par les paroles de Nelson Mandela « le courage n’est pas l’absence de peur, mais son dépassement », elle est toujours revenue travailler avec l’espoir d’apporter des outils de paix aux communautés locales.
Zahra Esmail
Zahra a consacré sa carrière aux services sociaux. Elle croit au potentiel de chaque être humain et travaille pour que les personnes vulnérables jouent un rôle actif dans le développement de leurs propres collectivités. Son cheminement a compris des expériences de bénévolat, de collecte de fonds et de travail à l’étranger, et elle est aujourd’hui directrice générale de la South Vancouver Neighbourhood House. Zahra est une ambassadrice passionnée du changement positif.
Au fil de ses expériences de travail en Asie, en Amérique latine, en Afrique et dans les Caraïbes, Zahra a développé un œil critique et a appris l’importance du leadership local pour assurer l’efficacité de la mise en œuvre de différents programmes. Après avoir vu le meilleur et le pire du développement dans la pratique, elle a acquis une approche à la fois optimiste et réaliste. Elle détient une maîtrise en mondialisation et développement international de l’Université d’Ottawa, avec orientation sur la microfinance pour les personnes les plus démunies.
