- This event has passed.
La diplomatie numérique
November 19, 2015
19 novembre 2015 – La diplomatie numérique, parfois appelée « twiplomatie » (un amalgame de Twitter et diplomatie), désigne l’utilisation des technologies numériques pour entrer en contact avec des populations étrangères en vue d’atteindre des objectifs internationaux. À l’échelle mondiale, Facebook, Twitter, Qzone et Snapchat comptent plus d’un milliard d’utilisateurs quotidiens. La connectivité numérique a rendu le monde plus petit et a ainsi changé la vie quotidienne de milliards de personnes. Des agriculteurs des régions rurales du Bangladesh ont ainsi accès aux marchés, les femmes et les enfants de la Tanzanie ont accès à des services de santé à distance, et l’accès à l’information s’est amélioré partout dans le monde, rendant ainsi les gouvernements plus redevables envers leurs citoyens.
La diplomatie numérique, parfois appelée « twiplomatie » (un amalgame de Twitter et diplomatie), désigne l’utilisation des technologies numériques pour entrer en contact avec des populations étrangères en vue d’atteindre des objectifs internationaux. À l’échelle mondiale, Facebook, Twitter, Qzone et Snapchat comptent plus d’un milliard d’utilisateurs quotidiens. La connectivité numérique a rendu le monde plus petit et a ainsi changé la vie quotidienne de milliards de personnes. Des agriculteurs des régions rurales du Bangladesh ont ainsi accès aux marchés, les femmes et les enfants de la Tanzanie ont accès à des services de santé à distance, et l’accès à l’information s’est amélioré partout dans le monde, rendant ainsi les gouvernements plus redevables envers leurs citoyens.
Ces développements ne se sont pas limités aux individus. De plus en plus, les gouvernements et d’autres instances utilisent ces plateformes pour parler directement aux citoyens. Certains ciblent une action directe. Par exemple, des ONG internationales comme le Comité international de la Croix-Rouge utilisent des mots-clics Twitter pour acheminer des dons vers des crises humanitaires particulières. D’autres formes de diplomatie numérique sont plus larges et concernent davantage des positions de politique étrangère. En guise d’exemple, le gouvernement du Canada s’est adressé directement au peuple iranien par Twitter.
Il ne fait aucun doute que la connectivité et l’utilisation de la diplomatie numérique sont des moteurs de changement social, ce qui entraîne des conséquences négatives. En effet, la diffusion d’idées et de sentiments a mené à des perturbations sociales, de la violence et de la radicalisation.
La diplomatie numérique est-elle réellement la clé d’un avenir meilleur, comme l’affirment certains? Quels sont certains des risques latents d’une telle approche ouverte? Quels avantages offre-t-elle? Et comment le Canada pourrait-il l’utiliser à bon escient pour avancer vers ses objectifs de politique étrangère?
Allez voir le blogue de thePanel sur la diplomatie numérique!
Détails de l’événement :
Cet événement a déjà eu lieu.
Regardez la webémission (en anglais seulement) :
John Stackhouse, Vice-président principal , Bureau du chef de la direction, RBC, ancien rédacteur en chef du Globe and Mail
Taylor Owen, professeur de médias numériques et d’affaires internationales à l’Université de la Colombie-Britannique, chercheur principal au Centre Tow pour le journalisme numérique à la Columbia School of Journalism, et fondateur d’OpenCanada.org
Martha McLean, Directeur adjoint , communications en ligne et de l’engagement , des affaires Global Canada
Sébastien Beaulieu, Directeur général , Relations Moyen -Orient, des affaires Global Canada et ancien ambassadeur du Canada en Tunisie
Modératrice : Mercedes Stephenson, de CTV
En partenariat avec :
Soutien financier :